« Dès que j’ai pu travailler avec imoove, (lorsque mon associé a pris sa retraite), je me suis séparé de mes poulies et de tout mon attirail pour me concentrer sur la proprioception et le travail en gravitation.

Il est capital d’envisager toute rééducation de manière globale, selon les chaînes musculaires concernées. Faire bouger une épaule, sans y associer la colonne vertébrale ou le bassin n’a, pour moi, pas de véritable sens. » 

« Avec imoove, je peux tout contrôler et faire rapidement progresser mes patients. La plateforme n’oblige pas à des mouvements de grande amplitude, je peux ainsi travailler en isométrie et en proprioception. Des progrès d’autant plus rapides que le patient travaille sans s’en rendre compte. Il se concentre sur l’interface, avec son côté ludique. Il oublie le mouvement, il déconnecte la partie volontaire et réalise les exercices sans efforts.

Et comme l’appareil me permet de travailler l’intégralité des chaînes musculaires, avec des patients de tout âge et de toutes natures, aussi bien des sportifs que des séniors et même des hémiplégiques, mon imoove tourne du matin au soir… »

« Je me suis aussi équipé de Kysio, qui transforme l’espalier pour le rendre intelligent et interactif et qui offre un feedback pour un travail sur-mesure qualifié-quantifié et de qualité. Avec Kysio, je travaille le mémoriel, comme pour imoove, je peux m’appuyer sur le côté ludique de la solution.

Sur un plan pratique il s’agit de reproduire au mieux un mouvement. Ici, on est davantage dans la conception du mouvement… » 

« Il faut savoir ce que les patients attendent et se mettre en accord avec notre conception de la rééducation. Avec ces deux technologies je sais que je fais progresser mes patients.

Sans oublier que ces solutions de soin par le mouvement me permettent de travailler en autonomie et donc dégager du temps, prendre l’affluence de patient pour cette reprise post-covid et pouvoir avoir la sérénité des distanciations et les respects d’hygiène. »